Entretien avec Rebecca Bilon, muséum de Grenoble

Publié par Echosciences Grenoble, le 21 avril 2020   3.7k

Depuis le 30 mars 2020, Echosciences Grenoble s'intéresse de près à l’impact du confinement lié à la propagation du COVID-19 sur la planète. En effet, dans le cadre de notre programmation culturelle Une saison pour la planète nous mettons à l'honneur les sciences de l’environnement et de la biodiversité. 

Nous allons donc interroger la communauté  des scientifiques et des acteurs de la CSTI lors d'entretiens téléphoniques sur des sujets variés : la pollution atmosphérique, la pollution sonore, la pollution lumineuse, l'observation des oiseaux, les animaux sauvages en ville ou encore la gestion des déchets. Tout cela afin d'apporter un éclairage sur ce qui se joue pour la planète en cette période de confinement.

Retrouvez l'entretien du 20/04/2020 par Laura Schlenker, sous forme de podcast ci-dessous.

Aujourd’hui, ce lundi 20/04/2020, j’ai rendez-vous avec Rebecca Bilon, la directrice du Muséum de Grenoble. Bonjour Rebecca, vous avez récemment pris la direction du Muséum de Grenoble, pouvez-vous vous présenter et nous parler un peu de votre parcours ? 

Quelles sont les principales missions du muséum de Grenoble ?

Depuis un mois, l’activité humaine est réduite à cause du confinement lié au COVID-19. Beaucoup d’images circulent sur la nature qui reprend ses droits depuis que l’homme fait moins pression sur les espaces. Est-ce un phénomène observable à Grenoble ? Est-ce que les animaux se réapproprient les villes ? A votre avis, quelle durée de confinement humain pourrait avoir un impact significatif sur les espèces ?
Alors, le Muséum est malheureusement fermé et vous ne pouvez plus accueillir du public. Qu’avez-vous mis en place pour poursuivre vos actions de médiation pendant le confinement ? Comment gardez-vous le lien avec vos publics ? Avez-vous autre chose à ajouter ?

Liens :


Illustration : Portrait de Rebecca Bilon