Les mutations numériques et industrielles remettent en cause l’équilibre économique entre l’économie marchande et l’économie de la redistribution, la mutualisation des risques et l’effort de solidarité. Aux cinq économies de base : « marchande », « équitable et solidaire » « domestique et éducative des familles», « non légales, marchés parallèles et contrefaçon » et « redistribution »seule les 2 premières sont reconnues valorisées et contribuent à la redistribution ».lire à ce propos l’introduction (à venir) à ce dossier ainsi que la visualisation de la carte du monde des mutations du dossier 1 ainsi qu’un article plus ancien Une France coupée en 2 ?

L’économie marchande elle même est en pleine évolution. L’économie industrielle des biens (11% du PIB) et l’industrie agroalimentaire (2% incluant la pêche) est en pleine régression au niveau français comme au niveau local. L’économie du partage, l’économie de la rareté (énergies métaux et terres rares) et l’économie de la profusion (connaissance et services) recomposent dasn u autre plan le PIB alors que jusqu’à présent, seule l’économie de la rareté contribuait à la redistribution.

L’économie du partage est documentée par quelques articles à consulter

A qui profite l’ubérisation de l’économie ?

L' uberisation de l'économie, un débat clivant aux cafés sciences et citoyens !

Economie du partage et inégalités : comment partager avec ceux qui n’ont pas grand-chose à partager ?

L’économie du partage questionne aussi notre représentation du travail, de l’emploie et des activités pas forcements rémunérées donc non visibles dans l’économie. Voir un premier article Question de travail ou d'activité ? qui amorce la réflexion. Dans le second article la réflexion est portée sur les enjeux spécifiques à la métropole grenobloise

Revoir à ce propos trois articles plus anciens :Métro Puzzle Grenoblois (I), Métro Puzzle Grenoblois (II), Métro Puzzle Grenoblois (III)