À travers cette série, nous mettons en lumière les chercheurs et chercheuses qui participent à la Fête de la science 2025 en Isère. L’objectif : découvrir leur parcours, comprendre leur métier et mieux appréhender les enjeux de leurs recherches.

Suite de la série avec Martial Mermillod, Professeur des universités, Directeur du Laboratoire de Psychologie et NeuroCognition (LPNC).

Retrouvez toutes les informations sur la Fête de la science 2025 en Isère 

1. Qu’est-ce qui vous a donné envie de faire de la recherche ?

Une curiosité inlassable pour l’intelligence... mais aussi pour la bêtise des humains.

2. Sur quoi portent vos recherches en ce moment ?

Je travaille sur la transition écologique, le vieillissement cognitif normal ou pathologique et l’intelligence artificielle dans l'approche « One Health » [ndlr : la santé à l’interface entre celle des animaux, des humains de leur environnement, à l’échelle locale nationale et mondiale].

3. Y a-t-il une idée reçue que vous aimeriez voir disparaître dans votre domaine ?

Que l’humain est très intelligent !

4. Comment participez-vous à la Fête de la science cette année ?

Je propose une courte présentation grand public sur le thème : "Pourquoi l’IA fascine autant qu’elle inquiète ?", dans le cadre des Conférences des pourquoi au Village des sciences "Saint-Laurent-en-ébullition".

5. Menez-vous des actions de médiation scientifique auprès du grand public en dehors de la Fête de la science ? Si oui, sous quelle forme ?

Oui, j'ai déjà donné des conférences scientifiques nationales et internationales, participé à des séminaires d’universités et d’entreprises, mené des projets de diffusion auprès du grand public comme par exemple avec l’Association des Universités populaires de France (AUPF), l’Université Inter Âges Du Dauphiné (UIAD), le Centre Jean Piaget de Genève ou l'Université des Savoirs Partagés de Villefranche de Rouergue.

🧠 Question bonus : Si vous deviez représenter l’intelligence avec un objet ou une image, que choisiriez-vous ?

Une illustration des liens entre les réseaux de neurones biologiques et artificiels.

Pour en savoir plus : découvrez le reste de la série dans ce dossier